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Devenue leader de la fabrication mondiale d’appareils de sport et de rééducation, la société ventait la qualité de ses machines dans divers prospectus copieusement illustrés (Archives d’Etat, Wiesbaden)

Les appareils de la société Rossel, Schwarz & Cie.

Le présent article – consacré à la société Rossel, Schwarz & Cie. et plus particulièrement aux machines conservées au Château de Candé – a été réalisé à partir de la documentation fournie par le Conseil Général de l’Indre et Loire, notamment par M.M. Guilbaud, Dolwett et Baudrier, chargés de la recherche en archives. La presse allemande de l’époque a été traduite par Madame Annette Anders, de l’association franco-allemande de Tours. Les clichés pris à bord des navires proviennent de la collection de Günter Bäbler, Martin Angst et Ioannis Georgiou (Swiss Titanic Society), Mark Chirnside (British Titanic Society) et à la 20th Century Fox. Que toutes les personnes citées soient chaleureusement remerciées pour leur assistance.

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Au premier plan, McCawley pratiquant de l’aviron à bord du Titanic. Au second plan se trouve William Parr (collection de l’auteur)

Le Gymnase de l’Olympic et du Titanic

En 1993, Robert Grootveld, de la Titanic Historical Society, revendiquait qu’il conservait en son domicile californien un « chameau électrique » construit au début du 20ème siècle par la société allemande Rossel Schwarz & Compagnie, alors établie à Wiesbaden. La restauration intégrale qu’il avait apportée à ce curieux appareil ne manquait pas d’intérêt car la machine dévoilait un lien original avec le paquebot Titanic. En effet, la White Star Line avait commandé en 1911 des équipements sportifs à cette même compagnie allemande pour les trois navires de la classe Olympic. Dans un article paru à cette époque dans le Titanic Commutator, Grootveld se montrait à peu près sûr qu’il s’agissait du dernier spécimen parvenu à notre époque, les autres ayant été détruits au fil du temps ou coulés avec les navires qui en étaient équipés. Pour l’Association française du Titanic, cet événement est l’occasion de présenter les gymnases de la classe Olympic. Il convient de les décrire en analysant les photographies et les témoignages qui nous parvenus. Mais le présent article tend également à prouver et à évaluer l’importance que de telles installations représentaient pour les compagnies maritimes au commencement du 20ème siècle.

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Le mot du Président

C’est peut-être d’un optimisme un peu prématuré mais c’est bien ce que je vous souhaite à l’aube de l’été. Cette période a été très riche en particulier en articles abordant tous les sujets. Ce regain d’intérêt pour le Latitude nous invite à poursuivre nos efforts. Notre Assemblée Générale s’est fort bien passée même si, encore une fois, nous avons constaté que se réunir à Paris coûte de plus en plus cher. Heureusement qu’Agnès Kissenberger nous a fortement aidés. La nouvelle est pour 2010 : notre Assemblée Générale aura lieu à Monts (Indre et Loire), si possible au château de Candé le 17 avril 2010 (et peut-être aussi le 18).

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Mahala Douglas. (Coll. Thierry Dufournaud)

Remerciements

Je tiens personnellement à remercier les personnes et organismes ci-après pour la réalisation de ce numéro spécial de Latitude 41.

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Le logo de la marque Quaker Oats.

Walter Donald Douglas, une biographie

Walter Donald Douglas est né le 21 avril 1861 à Waterloo, comté de Waterloo, dans l’état de l’Iowa (USA). Fils de George et Margaret (Boyd) Douglas, le premier natif d’Écosse et la seconde de Belfast (Irlande du Nord). Cependant, ils se marièrent aux États-Unis et s’installèrent à Dixon (état de l’Illinois) où le père s’engagea dans le monde des affaires pour un certain temps comme entrepreneur pour la Northwestern Railroad.

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La couverture de la partition musicale (Coll. Thierry Dufournaud)

« By the Waters of Minnetonka (An Indian Love Song) » de Thurlow Lieurance

Dans mes différentes recherches, j’ai pu retrouver une chanson intitulée By the Waters of Minnetonka – An Indian Love Song (Sur les eaux du Minnetonka – Une chanson d’amour indienne) qui fut un véritable succès (un tube, on dirait aujourd’hui) lors de sa sortie en 1914. Elle a été écrite et composée par Thurlow Lieurance (1878-1963), natif lui aussi de l’Iowa (à Osgaloosa) et qui se passionna très vite pour les musiques de différentes tribus indiennes.

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Mémoires de Mahala D. Douglas : « Berthe »

En 1908, nous étions à Paris. La Seine était en crue. Il pleuvait à torrents tous les jours. C’était un monde humide, gris, brumeux, froid et détrempé. Le pauvre Walter tomba malade. Le docteur dit que c’était le plus beau cas d’angine qu’il avait jamais vu. Walter avait ses propres idées quant à la beauté (de cette angine). Nous prîmes une infirmière anglaise et une bonne française. La bonne arriva vêtue d’une robe de serge verte à rayures noires qui traînait. C’était d’un effet ravageur. À l’époque mon français était épouvantable et la pauvre fille était hébétée à la fin de la journée. Elle partit en hâte chercher la bonne qui l’avait recommandée et lui raconter ses ennuis. « Il se peut que cette dame parle français mais je n’ai jamais rien entendu de tel. Je ne comprends pas un mot de ce qu’elle dit. Je ne veux pas rester. » dit-elle. Mais elle resta et fut le délice de ma vie pendant trente-deux ans. Un cœur d’or, un humour jamais défaillant, honnête, compétente, fidèle, dévouée, un cadeau des dieux.

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Santa Barbara Calvary Cemetary (Coll. Thierry Dufournaud)

Carnet de voyage californien autour de Berthe Leroy et Gaston Bourlard

Ayant été très touché par le parcours de Berthe Leroy-Bourlard, l’histoire de la vie d’une petite fille, née française, émigrée aux États-Unis, naturalisée américaine. Elle choisit de revenir en France, afin d’y poursuivre le dernier acte de sa vie et d’y mourir (pour Independence Day, le 4 juillet), ce qui me décida à me rendre sur ses traces (et celles de Gaston Bourlard), en Californie. Ce voyage de quelques jours se réalisa tout début décembre 2007. Je dédie ce carnet de voyage à Berthe Leroy-Bourlard, Gaston Bourlard, Nicole et Christian Gorrée-Wéry, Michel et Sylvie Leroy, Walter Donald Douglas, Mahala Dutton-Douglas et leurs familles.

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