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Cette célèbre carte postale est supposée représenter le Titanic. Or, il s'agit en fait de son sister-ship, l'Olympic.

Les Mystères du Titanic

Le Titanic est devenu l’un des plus célèbres paquebots du monde lorsqu’il fit naufrage en 1912. Nombreux ont été ceux qui ont tenté de comprendre la fascination qu’il exerce sur nous : le siècle a connu de nombreux grands paquebots, qu’est-ce que celui-ci avait de si particulier pour exciter l’imagination du public durant la plus grande partie du 20ème siècle ? Et, a priori, cela pourrait encore être le cas au siècle prochain.

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Éditorial

L’an 2000, avec tous les fantasmes dont il a été l’objet, ne restera pas dans les mémoires comme l’année où le Titanic est tombé dans l’oubli. Bien au contraire, le public est loin de se lasser.

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L’affaire des deux médiums

Le 1er octobre 1919, dans son numéro 5, la revue Sciences et Voyages publiait un dossier sur « Les Supercheries des Médiums ». Henry Cossira y attaquait avec véhémence l’art de la médiumnité, quant à V. Forbin, il reconnaissait que, « pourtant, il y a quelque chose »… Le but de l’AFT n’est pas de discuter de la validité des arguments de l’un ou de l’autre ; mais dans ce long article, les deux exemples de médiumnité critiqués par les journalistes sont William Thomas Stead et Arthur Conan Doyle. Le fait que le grand journaliste anglais disparu dans le naufrage du Titanic se trouve aux côtés du père de Sherlock Holmes ne pouvait qu’éveiller notre intérêt : encore une fois, l’histoire du paquebot naufragé croisait le chemin du détective de Baker Street. Voici les articles leur ayant été consacrés, ainsi que les illustrations d’origine : sur la même page, le portrait de Stead côtoie le manuscrit d’une lettre de Conan Doyle.

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L’affaire des compartiments étanches

On l’a vu, de nombreux pastiches ont vu le jour, ayant Sherlock Holmes comme héros. Dans Sherlock Holmes et le Fantôme de l’Opéra, le détective de Nicholas Meyer effectue un exercice de déduction pure, dans la tradition de Conan Doyle, sur un thème qui nous est cher : le naufrage du Titanic…

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L’affaire des nombreux pastiches

Cela devait arriver. Les années passant, les archives révélant peu à peu leurs secrets aux infatigables chercheurs holmésiens, nous avons appris, sans en être autrement surpris, que le maître avait été confronté à toutes les grandes affaires de son temps, des crimes de Jack l’Éventreur à l’affaire Dreyfus. Restait le fait divers le plus dramatique, le plus fascinant du début du siècle, le naufrage du Titanic. Impossible d’imaginer que Sherlock Holmes ait pu s’en tenir totalement à l’écart, en simple témoin passif. Voila qui ne lui aurait guère ressemblé. Que l’on se rassure. Une nouvelle et un roman, parus coup sur coup, ont comblé cette lacune dans la chronologie holmésienne.

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L’affaire du limier rival, « La Machine à Penser »

Si le Titanic était arrivé à New York le 17 avril 1912 sans incident aucun, l’Amérique aurait connu l’avènement de son propre Sherlock Holmes en la personne du Professeur Augustus S.F.X. Van Dusen, création du romancier Jacques Futrelle. Le jeune auteur, qui avait fêté ses 37 ans le 9 avril 1912, rentrait en Amérique avec sa femme May, après avoir signé des contrats d’édition en Europe et en France en particulier. Ainsi, le Pr. Van Dusen dit La Machine à Penser, allait-il envahir l’Europe et mettre à mal la suprématie du détective de Baker Street… Jacques Futrelle, en 1912, avait déjà écrit deux romans courts et une soixantaine de nouvelles dont quarante-cinq mettant en scène La Machine à Penser : de retour en Amérique, il devait achever les manuscrits qu’il travaillait sur le Titanic. Ces manuscrits sont désormais au fond de l’océan Atlantique, perdus à jamais. La Machine à Penser n’aura pas eu l’occasion de connaître une vraie gloire littéraire, mais les histoires publiées du vivant de Jacques Futrelle ont suffi à donner naissance à un mythe. Sherlock Holmes n’aura pas de rival. En tout cas, pas de sitôt…

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L’Affaire du Nomadic

Le 1er mars 1997, la Société Sherlock Holmes de France se réunissait pour un déjeuner autour de Pierre Maréchal, l’homme qui avait « sauvé » Sherlock Holmes du Titanic ; le repas avait lieu à bord du Nomadic, qui à l’époque abritait Le Colonial. Les membres de la SSHF étaient costumés, l’émotion fut à son comble lorsque des couples victoriens se mirent à valser sur Autumn,  l’un des derniers morceaux attribués à l’orchestre du Titanic. Claudine Laroche et moi-même participions à cette journée mémorable, qui devait jeter les fondements d’une collaboration étroite entre la SSHF et l’AFT. Thierry Saint-Joanis, président de la Société, nous lut quelques messages d’amitié nous souhaitant une excellente journée dans le sillage du Titanic. Voici les lettres reçues de William Seil, auteur de Sherlock Holmes and the Titanic Tragedy, un pastiche auquel un article est consacré dans le présent numéro de Latitude 41.

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L'aviateur Pierre Maréchal sauvant Sherlock Holmes du naufrage du Titanic. Allégorie de Jean-Pierre Cagnat, 1997.

L’Affaire du mystérieux roman de Pierre Maréchal

Parmi les rescapés du naufrage du Titanic, on compte un certain nombre de Français, tous passagers de 1ère ou de 2ème classe. L’un d’eux, Pierre Maréchal, reste pour les chercheurs une énigme, ne nous ayant rien livré de son expérience éprouvante. La presse de l’époque nous donne quelques renseignements fragmentaires, complétés par le texte des télégrammes conservés par des collectionneurs.

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