Le coin du lecteur : Nous étions à bord du Titanic, de Gérard Piouffre

Gérard Piouffre est un des auteurs français les plus prolifiques dans le domaine de l’histoire maritime. En 2009, il nous a gratifiés d’un très bon ouvrage sur le Titanic, intitulé Le Titanic ne répond plus, qui racontait l’histoire du paquebot, notamment avant et après le naufrage, avec un grand souci du détail et un style très vivant. Trois ans après, c’est un livre que je continue à recommander très chaudement. Il faut dire que le Titanic est un sujet de prédilection pour cet auteur que nous avons la chance de compter parmi les fidèles adhérents de l’AFT.

0 commentaire

Génération Cameron

De la même façon qu’il y a une « génération Walter Lord » apparue avec la publication de La Nuit du Titanic, et une « génération découverte de l’épave », il y a également la « génération Cameron ». Ainsi, qu’il s’agisse d’un livre, d’images de l’épave aperçues à la télé ou d’un film, on remarque que la passion du Titanic frappe généralement entre 5 et 10 ans. C’est le cas de la génération Cameron qui était encore en âge d’aller à l’école primaire lorsque le film est sorti dans les salles noires, à commencer par moi-même.

0 commentaire
Lire la suite à propos de l’article James Cameron, générateur d’idées reçues ?
La «fuite» d’Ismay à bord du canot C, sous les yeux de Murdoch. © James Cameron «Titanic»

James Cameron, générateur d’idées reçues ?

James Cameron se doutait-il, en réalisant son Titanic, qu’il mettait en scène le film le plus vu de tous les temps sur ce célèbre naufrage ? Vu les moyens et l’énergie déployés, c’est probable. Conscient de ces enjeux, et en véritable passionné de l’histoire de ce navire, il a cherché à être le plus fidèle possible à la réalité. Il a pour cela fait appel à plusieurs spécialistes, notamment Don Lynch et Ken Marschall, auteurs de Titanic, la grande histoire illustrée.

0 commentaire

Vacances titanesques

Qui n’a jamais rêvé d’être dans un lieu qui ait un petit quelque chose de Titanic ? Je peux vous dire que ce rêve peut devenir réalité en vous rendant en Espagne, et plus particulièrement à Callela sur la Costa Brava. En effet il existe un hôtel (H Top Amaika) qui possède des décors fortement inspirés de ceux de notre paquebot favori ; oui tout ce que je vais vous montrer ci-dessous est bel et bien réel !

0 commentaire

Costa Concordia et Titanic : du pareil au même ?

Eût-on pu rêver « meilleure » promotion pour le centenaire du Titanic qu’un naufrage à la une des journaux ? Ce constat peut paraître cynique, et pourtant ! La presse ne s’est pas gênée pour rappeler au monde médusé par ce nouveau drame de la marine que, cent ans avant, un autre paquebot symbole du gigantisme et du luxe avait sombré et créé un émoi mondial. Deux naufrages similaires ? Difficile de le dire à première vue, tant les circonstances et les bilans semblent éloignés. Mais les apparences sont parfois trompeuses et, outre ces cent ans qui les séparent de façon quasi parfaite, plusieurs points les rapprochent.

0 commentaire

Les conséquences de l’après-Titanic : des indemnisations et un droit de propriété flous

La construction totale du paquebot Titanic est estimée globalement à 1,5 millions de livres sterling (de l’époque). Parmi ce coût, on peut inclure les matériaux de base (aciers, rivets en fer...), les machines, la décoration intérieure et les équipements extérieurs. Pour assurer le Titanic, l’IMM, trust américain, et la White Star Line (WSL) dont Joseph Bruce Ismay en était le président, ont procédé à une division de la somme ainsi que de ce qu’elle recouvrait en particulier. Ainsi séparée en trois parties, les deux tiers de la somme globale (1 million £) est garantie par l’IMM (International Marine Mercantile). Le dernier tiers est assuré par la White Star Line (500 000 £). En d’autres termes, l’IMM prend en charge tous les frais propres aux navires, infrastructures et aux machineries tandis que la WSL s’occupe de la décoration et des équipements divers et extérieurs. En ce qui concerne les biens personnels, les cargaisons, ces derniers ne sont pas pris en compte et seuls les passagers et entreprises sont responsables de leurs biens.

0 commentaire

Une vente aux enchères contestée et contestable

La nouvelle de la vente aux enchères des artefacts du Titanic vient de tomber depuis quelques semaines. Autorisée par les autorités judiciaires américaines, la RMS Titanic Inc. (abrégé en RMST), société qui détient les droits d’exploitation de l’épave et le droit de propriété des objets repêchés du Titanic, peut désormais vendre la collection de ces objets ainsi que les droits de propriété intellectuelle d’exploitation de l’épave. La décision de justice a fait l’effet d’une bombe dans le monde des passionnés du Titanic.

0 commentaire

Le tour du monde des commémorations

Cette année 2012 est une année symbolique pour tous les passionnés du Titanic. Il y a cent ans, le paquebot le plus moderne, le plus luxueux et le prestigieux coulait dans l’océan Atlantique faisant plus de 1500 morts. Le Titanic, construit par les chantiers de Harland and Wolff de Belfast et dont le port d’attache était Liverpool, effectuait le 10 avril son voyage inaugural en partant de Southampton, seul port pouvant accueillir le géant des mers. Le mastodonte de la White Star Line s’est ensuite arrêté à Cherbourg, seule escale sur le continent européen avant de s’amarrer à Queenstown devenue Cobh depuis 1922, port emblématique de l’immigration irlandaise, à partir duquel les immigrants se lançaient à la conquête de l’Atlantique pour arriver à New-York où ils espéraient trouver le rêve américain. Après le naufrage, la ville canadienne d’Halifax a honoré la mémoire des victimes en leur donnant une dernière demeure dans laquelle ils reposent encore de nos jours.

0 commentaire

Vie de l’association

C’est avec une certaine tristesse que nous avons appris il y a un peu plus d’un mois le départ d’Olivier Mendez, qui s’occupait avec brio de la rédaction de Latitude 41 depuis les débuts de l’AFT. Nous sommes certains que vous vous joindrez à nous pour saluer son magnifique travail et lui souhaiter une très bonne continuation, et de la réussite dans tous ses projets à venir. Nous voici donc désormais trois à sa place. Pourquoi trois ? Parce que, malgré notre immense passion pour le Titanic, aucun de nous ne se sentait capable de porter seul cette lourde tâche. L’amitié qui nous lie aidant, c’est donc un trio qui assurera la gestion de Latitude 41.

0 commentaire