Pétition internationale
L'Association Française du Titanic(A.F.T) et sa Pétition Internationale "en ligne", afin de sauver le S/S NOMADIC (transbordeur du Titanic), se transforme en quelques jours en une coalition internationale.
L'Association Française du Titanic(A.F.T) et sa Pétition Internationale "en ligne", afin de sauver le S/S NOMADIC (transbordeur du Titanic), se transforme en quelques jours en une coalition internationale.
Venez à la rencontre de Pierre Maréchal, passager français de première classe, dans ce dernier numéro de 2004 qui lui est totalement consacré.
Lorsqu’on feuillette la presse de 1912, on remarque que l’aviation était l’un des thèmes de prédilection des journalistes, qui rapportaient de manière quotidienne les exploits des uns, les records des autres, mais aussi les tragiques accidents dont étaient victimes les pionniers de l’air. Pour le lecteur de 1912, Miss Quimby, Thierry de Ville d’Avray, Miss Davies, Fischer et Renaux étaient des noms aussi familiers que ceux de Blériot, les frères Wright ou Farnham, pour n’en citer que quelques-uns.
Quatre-vingt-douze années ont passé depuis le naufrage du Titanic et, pourtant, le « Paquebot de Rêves » recèle toujours de nombreux mystères. Jusqu'à aujourd'hui, l'un des passagers Français est demeuré une énigme pour les chercheurs et les historiens : Pierre Maréchal, que la presse de l'époque appela « l'aviateur Maréchal ». C'est grâce à un contact fortuit établi par Christian, le petit-fils du rescapé que le voile entourant l'histoire de Pierre Maréchal peut enfin se lever. Sa biographie comporte encore de nombreuses imprécisions et inconnues, mais gageons que ces lacunes ne tarderont pas à être comblées. Voici la singulière histoire de l'aviateur Pierre Maréchal et celle, tout aussi extraordinaire, de son fils Jean-Pierre, pilote automobile au destin tragique.
Ce numéro 23, double, de Latitude 41 sort bien après la date prévue. N’oublions pas que ce remarquable travail est le fruit de recherches longues et prenantes et que nos deux compères, Olivier Mendez et Alain Dufief, sont des bénévoles. J’en profite pour lancer un appel à tous ceux qui peuvent écrire des articles ou fournir de la documentation : nos rédacteurs sont à court d’idées et soulignent que ce journal est celui de tous. Vite à vos stylos et à vos archives pour que le numéro 24 soit le riche premier exemplaire de 2005.
Dans ce numéro de l'été 2004, découvrez notamment un bilan de la récente expédition sur l'épave, un portrait d'un tricheur professionnel du Titanic, et des articles au sujet de Michel Navratil.
Nous ne connaissons que très peu de choses sur les Robāïates de ‘Umar Khayyām. Aussi, il nous a semblé intéressant de porter à la connaissance de nos lecteurs le résultat des recherches de Martin Thompson, journaliste du Sunday Telegraph. Sans la perte du plus célèbre exemplaire des Robāïates dans le naufrage du Titanic, l’œuvre du poète persan serait certainement oubliée de tous aujourd’hui. Si la théorie de Thompson est erronée (Harry Widener n’était pas en possession des Robāïates sur le Titanic, et il ne les transportait pas non plus pour John Pierpont Morgan), ses recherches sont certainement les plus poussées publiées à ce jour. Les Robāïates sont mieux connues à ce jour dans les pays anglo-saxons sous le titre Omar le Grand.
La pratique des jeux d’argent était courante sur tous les paquebots transatlantiques de l’époque du Titanic. Suffisamment, en tout cas, pour attirer des joueurs professionnels en assez grand nombre pour poser un problème aux lignes concernées. Il ne fait aujourd’hui aucun doute que, comme sur les autres paquebots naviguant alors sur l’Atlantique, des tricheurs professionnels se trouvaient effectivement à bord du Titanic.
Ce document, qui date de 1998, était à l’origine une lettre à l’attention d’Elisabeth Navratil, qui nous a autorisés à la corriger et à la publier sous sa présente forme.