Le Princess Alice était un bateau de plaisance équipé de roues à aubes, construit en 1865 pour le transport de plus de 900 passagers quotidiens effectuant la traversée entre Woolwich, (grande banlieue de Londres), et Sheerness (Kent), assurant escale à Rosherville Pleasure Gardens (Gravesend) et autres sites de villégiature.
L’Association Française du Titanic a tenté de vous tenir informés régulièrement du destin du Nomadic, malgré les embûches, les interdictions et les silences coupables… La onzième heure du navire vient de sonner, et Fabrice Vanhoutte dresse un premier bilan.
Charles Joughin était boulanger en chef à bord du Titanic ; c’est l’un des héros les plus marquants de cette nuit de 1912. Nous avons tous en tête les images du film de Cameron, où on le voit suspendu au bastingage à l’arrière du navire, cramponné à sa bouteille de whisky !
Dans le prochain numéro de Latitude 41, vous trouverez un reportage complet sur la cérémonie à la mémoire de Samuel Goldenberg, passager américain du Titanic installé en France et décédé à Nice. En attendant, Aymeric Le Guisquet, notre guide local, nous entraîne à travers les musées de sa région, qui possèdent quelques très belles maquettes du paquebot.
Cinq ans ! Lorsque nous avons entamé l’aventure de l’Association Française du Titanic, en octobre 1998, nous ne savions pas très bien où cela nous mènerait… Quatre années glorieuses se sont écoulées et nous voici à l’aube d’une cinquième année, qui s’annonce elle aussi très riche. Mais cette cinquième année sera aussi différente.
Le présent numéro de Latitude 41 était pratiquement « bouclé », et la plupart des pages imprimées, lorsque nous avons reçu de très mauvaises nouvelles via Patricia Curtis, l’une de nos amies aux États-Unis : le 4 juillet 2002, alors que le monde observait l’Amérique qui craignait un nouvel attentat le jour de sa Fête Nationale, Winnifred Quick Van Tongerloo mourait, discrètement, comme elle avait vécu. Personne n’a parlé d’elle, nulle télé n’a annoncé la disparition de cette enfant du Titanic.
L’article suivant a été publié en postface dans l’édition Marabout de l’œuvre de Walter Lord, peut-être en 1961 (date estimée), de la p. 155 à la p. 157.
Nous tenons tout particulièrement à remercier Yves Caffy, qui nous a envoyé cet article ; effectivement, le Titanic n’a pas fini d’alimenter les mythes, et on ne sait plus quoi inventer à son sujet ! Il n’est pas impossible qu’on nous affirme un jour, comme l’écrit Yves avec beaucoup d’humour, que tout ce que l’on connaît est faux, et que… « la vérité est ailleurs » !
Si vous êtes comme moi, il suffit que le nom Titanic soit marqué quelque part, et l’objet finit invariablement dans ma collection. Parfois, on est déçu… Je vous raconte ici ma dernière mésaventure, pour vous éviter de tomber, vous aussi, dans le piège. Surtout quand il coûte près de 61 euros…