Lorsque j’ai appris que Arte se préparait à diffuser un film intitulé Le Sarcophage du Titanic, un court-métrage, lors de sa soirée consacrée aux momies (nuit du 6 février 2000), j’ai cru qu’il s’agissait d’un documentaire sur le mythe élimé de la méchante momie embarquée sur le Titanic à destination d’un musée New-Yorkais. Que nenni, il s’agissait bien d’un film, un authentique film de fiction !
John Hodges, auteur de l’article ‘Titanic’ dans ce numéro de Latitude 41, a souhaité rédiger la biographie de Madame Ellen Mary Walker, fille de passagers du Titanic, et auteur de l’introduction de son roman. C’est la première fois que l’histoire de la famille de Mme Walker est publiée en France.
Un passionné s'interroge sur l'origine de sa fascination pour le Titanic.
Canal + a diffusé des images prétendument inédites du Titanic... Il s'agissait en fait d'images vues et revues de l'Olympic. Notre rédacteur en chef, Olivier Mendez, a tenté d'en informer la presse.
"À tribord toute"... et le Titanic part à bâbord. Erreur de James Cameron, maintes fois signalée dans notre courrier ? Eh bien non, comme l'explique cet article.
François Omont, fils de rescapé, a vu le film de James Cameron. Il donne son avis !
Je dois l’admettre, j’ai beau avoir vu Titanic, le film de James Cameron, plusieurs dizaines de fois, en salle et en cassette, en V.O. et en V.F., je n’ai pas immédiatement repéré toute une série de faits qui unissent le Titanic et notre pays. C’est petit à petit, au cours de mes réflexions sur le film, que j’ai fini par noter que la France était décidément un « acteur » du film, y apparaissant régulièrement, directement ou indirectement.
Voici donc qu’approche la fin d’un siècle marqué par la bêtise humaine et le sang répandu, mais aussi par une science galopante ayant parfois dérapé et atterri dans nos vies sous quelque forme hybride ou monstrueuse… Voici donc que ces années 1900 s’achèvent et que le 21ème siècle s’ouvre grand devant nous, que les repas de famille amoureusement mitonnés par la cuisinière de la maison cèdent leur saveur aux barquettes en aluminium avalées sur le pouce au bureau… Toutes les « valeurs » qui ont fait ce siècle s’effacent, gommées par le modernisme et remplacées par d’autres, que l’on nous assène à grands coups de médias. Le siècle est mort, vive le siècle ! Alors que l’on pensait laisser derrière nous cet amas d’idées poussiéreuses, alors que l’on pensait que chaque détail du passé avait son pendant dans le futur monde moderne, on s’aperçoit que certains fragments de 1900 survivent, s’accrochent et franchissent en champion le seuil du nouveau millénaire sans aucune peur du bug (stupide « bogue » en français)… Ainsi, nous confirme-t-on en ce début d’année 2000 que « Titanic » est le huitième mot le plus connu au monde, tous pays et toutes civilisations confondus…
Oui, Michel Navratil a vu Titanic, le film de James Cameron. Que de fois ne m’a-t-on demandé si Michel, âgé de plus de quatre-vingt-dix ans aujourd’hui, et dernier rescapé Français du naufrage, avait eu l’envie, la curiosité, le besoin, de voir Titanic, et ce qu’il en avait pensé…
Dernières actualités de l'association et du Titanic, en ce début d'année 2000.