Le coin du lecteur
Pas de coin du lecteur consacré à un livre unique pour ce numéro, faute de temps. Robert Shotton attire cependant notre attention sur plusieurs ouvrages.
Pas de coin du lecteur consacré à un livre unique pour ce numéro, faute de temps. Robert Shotton attire cependant notre attention sur plusieurs ouvrages.
C’est dans un vieil Assimil de 1967 (La pratique de l’anglais) que j’ai découvert cette rescapée du Titanic qui devint rapidement un personnage légendaire sous le nom de « the unsinkable Mrs Brown ».
De retour de voyage, nous écoutions le CD des meilleures musiques de films, et bien sûr est arrivée celle du Titanic. À l’écoute de ce morceau, je dis à mon mari : « Tu vois, en ce qui concerne le Titanic, je pense que je vais pouvoir fermer le dossier de la marraine, je vais clore l’écriture un de ces jours, je n’ai plus rien à apprendre. »
Automne 2011. Le livre Les Français du Titanic, co-écrit par François Codet, Franck Gavard-Perret, Olivier Mendez et moi-même, est paru depuis le début de l’année. Malheureusement, il recense deux Français pour lesquels nous ne savons encore que très peu de choses : Georges Jules Jouannault, cuisinier aux sauces au Restaurant à la Carte du Titanic, né le 1er août 1887 à Stuttgart (Allemagne)[1], et Henriette Yvois, mannequin, 24 ans, domiciliée au n° 5, rue des Pyramides à Paris, passagère de 2e classe. Tous deux ont été victimes de la catastrophe et leurs corps n’ont jamais été retrouvés. Le centenaire du naufrage du Titanic fut commémoré il y’a plus de deux ans, et je ne peux croire qu’après un siècle, nous ne parvenions toujours pas à en savoir davantage sur les origines de ces deux personnes. Comme tant d’autres chercheurs, j’ai multiplié mes tentatives depuis de nombreuses années et, comme eux, j’ai toujours échoué dans mes recherches. L’obstination et le hasard vont pourtant produire leurs fruits, avec l’aide de l’outil internet…
J’ai lu avec grand intérêt le numéro 55 de Latitude 41, consacré au sister-ship HMHS Britannic, et j’aimerais y apporter ma petite contribution. Cette contribution s’appliquerait plus à l’article d’Antoine Resche et concerne l’offensive des Dardanelles. Ne voulant point m’étendre sur la Première Guerre, les Dardanelles, et ainsi de suite, vous pourrez toujours faire vos recherches via Google ou Wikipédia. Si le conflit des Dardanelles faisait déjà rage lorsque le navire-hôpital opérait en mer Égée, des articles apparaissaient dans divers journaux de l’époque, du monde entier, narrant le blocus de ce détroit.
L’assemblée générale annuelle de l’AFT s’est déroulée à Saint-Nazaire du 25 au 27 avril 2014. L’AG s’est tenue le 26 avril à 17 h 30 à l’hôtel Aquilon en présence de 20 membres.
L’été est là, et avec lui, le nouveau Latitude 41. Un numéro qui s’annonce copieux, comme d’ailleurs, ceux qui suivront cet automne et dont le programme est d’ores et déjà alléchant ! Mais n’anticipons pas. Dans ce numéro, vous aurez l’occasion de découvrir l’émouvante rencontre des deux filleuls de Ninette Aubart, une étonnante découverte de Robert Shotton qui nous montre que le Titanic avait un petit lien avec les fameuses Dardanelles qui furent fatales à son sister-ship, mais aussi une description pour le moins originale de Margaret Brown, découverte par François Omont dans un vieux manuel d’anglais. Enfin, pierre angulaire de ce numéro, les massives recherches d’Alain Dufief sur Georges Jules Jouannault et Henriette Yvois, qui étaient déjà annoncées dans le numéro 49-50 de Latitude 41, et que nous vous offrons avec du retard, mais également de nombreuses mises à jour.
Quand il s’agit du Titanic, et probablement encore plus depuis son apparition dans le film de James Cameron, Harold Lowe, le cinquième officier du Titanic est souvent vu comme l’un des grands héros du naufrage. Un héros pourtant méconnu.
Depuis sa création, Latitude 41 vit grâce à vos publications. Vous êtes toujours plus nombreux à nous en envoyer et nous vous en remercions ! Cet article se veut avant tout un rappel de ce qui peut nous simplifier le travail de mise en forme lorsque nous préparons un numéro. Ces remarques ne sont bien entendu pas obligatoires, mais gardez à l’esprit que ces tâches doivent de toute façons être faites. Quand les auteurs les accomplissent eux-mêmes, c’est du temps gagné pour nous et l’assurance que votre article pourra être plus vite publié.