Le naufrage du Titanic en temps réel

Le 14 avril dernier, l’équipe du jeu vidéo Honor and Glory – déjà évoqué dans un article du numéro 60-61 de Latitude 41 – a publié sur son site internet et sur Youtube une vidéo retraçant l’ intégralité du naufrage minute par minute. Pendant plus de 2 h 40, de la collision au plongeon final, le spectateur assiste à la lente disparition du Titanic et suit les différents événements qui se déroulèrent cette nuit-là.

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Le coin du lecteur : Thomas Andrews, architecte du Titanic par Jean-Philippe Marre

Le Titanic aura toujours ses figures emblématiques : l’orchestre jouant jusqu’au dernier instant ; le commandant Smith sombrant avec son navire ; le couple Straus uni dans la mort comme il le fut dans la vie ; et tant d’autres encore. Parmi toutes ces images qui nous viennent en tête, l’une d’elle en particulier restera pour toujours inhérente à ce paquebot qui fascine les foules depuis plus d’un siècle : Thomas Andrews, son constructeur, qui l’aura suivi de ses premières esquisses jusqu’à sa plongée dans les abysses.

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Le premier Ionic

Histoire de la White Star Line : Vers tous les océans du globe

Dans les numéros 63-64 et 65, nous avons évoqué les débuts de la White Star Line. Nous l’avons laissée ainsi en 1875, lorsque le Britannic et le Germanic ont rejoint sa flotte sur l’Atlantique Nord, posant les bases d’un service appelé à durer jusqu’à la fin des années 1880. Désormais, la ligne principale de la compagnie était posée ; il fallait désormais se tourner vers d’autres destinations.

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La vie est belle, conte maritime

Dans l’une des chaloupes descendues du Titanic, commandée par un marin qui est à la barre, une française tient tendrement sur ses genoux sa fille Sophie, une petite blonde de 6 ans, intriguée par cette promenade nocturne. Elle n’a pas sa langue dans sa poche ! Il y a plusieurs autres mères avec des enfants. Les quelques passagers qui ont embarqué ont remédié à l’absence des marins pour ramer. Ce fut le cas dans de nombreuses chaloupes.

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Vie de l’association

Pour ce premier numéro de 2016, nous vous présentons à nouveau l’article de Franck Gavard-Perret sur la genèse de la classe Olympic, dans une version augmentée de plusieurs pages : suite à un souci technique, nous n’en avions publié qu’une partie dans un précédent numéro. À toute chose, malheur est bon, car ce contretemps a permis à Franck d’ajouter de nouvelles précisions grâce à l’excellent livre de Jean-Philippe Marre sur Thomas Andrews, livre qui fait ici l’objet d’une chronique détaillée. Vous trouverez également un bilan succinct de notre assemblée générale qui s’est déroulée au Havre du 22 au 24 avril, ainsi que la suite de l’histoire de la White Star par Antoine Resche et un conte maritime de François Omont. La fin de l’année 2015 et le début de 2016 ont été marqués par plusieurs décès de membres de l’association et de leurs proches : la rédaction souhaite faire part de sa sympathie à toutes les personnes endeuillées par cette période difficile.

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Le coin du lecteur, spécial Lusitania

Le Lusitania, paquebot de la Cunard Line, a inspiré beaucoup d’auteurs et d’historiens depuis son naufrage. Tranchant avec le scénario quasi-parfait de la tragédie du Titanic – en temps de paix, le naufrage du premier « lévrier des mers[1] » a été interprété de différentes manières dans les romans ou les ouvrages d’histoire. Qu’il s’agisse d’illustrer le contexte d’une histoire fictive ou de retracer les événements liés au torpillage du navire, la tragédie du Lusitania s’apparente à un événement important pour les auteurs du monde entier. En passant par Agatha Christie[2] ou d’autres auteurs[3], le paquebot de la Cunard Line peut rivaliser avec les plus grandes catastrophes maritimes du XXème siècle. Place à la sélection de livres choisis pour ce numéro hommage au premier des « lévriers des mers ».

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Lusitania et Titanic, des navires liés

Le Lusitania et le Titanic ont laissé leur trace dans l’histoire contemporaine. Si l’un s’est retrouvé dans la culture populaire, l’autre a été oublié pendant des décennies. Les carrières et les naufrages des deux géants des mers ne sont pas comparables en somme. Cependant, des liens existent entre les deux paquebots. Fleurons des deux plus célèbres compagnies maritimes britanniques, le Titanic et le Lusitania semblent en apparence ne pas avoir de points communs. Les paquebots rivaux, différents sur beaucoup d’aspects entretiennent néanmoins des relations singulières entre eux. Dès la fin du XIXème siècle, la Cunard Line et la White Star Line se livrent une rude concurrence pour gagner le monopole du trafic maritime de l’Atlantique Nord. Mais en réalité les deux mastodontes que représentent le Lusitania et le Titanic entretiennent des relations communes telles les circonstances de leurs naissances ou de leurs destins tragiques. Comment le Lusitania a-t-il fini par être rattaché au Titanic dans l’histoire maritime ? Et surtout quels liens unissent les deux rivaux malgré de leurs grandes différences ?

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