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Le Laurentic (II)

Histoire de la White Star Line : Le lent effondrement

Dans le dernier numéro, nous avons assisté à l’essor rapide de la White Star dans les années 1900, sous la houlette de son président Joseph Bruce Ismay, avec la construction des magnifiques et populaires Big Four. La décennie s’achevait sur la mise en construction de l’Olympic et du Titanic, tandis que le dénouement heureux du naufrage du Republic, en 1909, confortait le public dans sa confiance envers la sécurité des navires. Cette confiance devait être de courte durée.

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Un repas Titanic

Le dimanche 31 juillet dernier, j’ai organisé un repas 100 % Titanic chez moi pour la deuxième fois et, en toute franchise, je me suis bien amusé pour le préparer.

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Vie de l’association

L’année touche à sa fin et voici un nouveau numéro de Latitude 41 pour la conclure. Vous y retrouverez la fin de l’histoire de la White Star Line que vous a proposée Antoine, ainsi que plusieurs contributions d’Aymeric Le Guisquet qui vous propose ici des idées de recettes faites à bord, et vous dresse un bilan de ses expositions, qui rencontrent un succès qui va en grandissant ! Dans le dernier numéro, nous vous avions dit qu’il connaissait des soucis avec le clou de son expo, sa grande maquette du Titanic, mais une solution toute satisfaisante a été trouvée avec les fabricants de chez Graupner, et c’est une nouvelle maquette en parfait état qui continuera à représenter notre association dans les expositions à venir, avec un programme 2017 qui s’annonce chargé.

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Le Titanic en Auvergne

La saison 2016-2017 des meetings de modélisme a commencé depuis le 15 mai 2016. À cette occasion, je fais découvrir lors de toutes ces réunions de modélistes navals ma dernière acquisition qui sera prochainement navigante : le Titanic au 1:150e de chez Graupner, d’une longueur d’1 m 76, d’une largeur de 21 cm et d’une hauteur de 53 cm.

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L’audition de Joseph Bruce Ismay lors de la commission d’enquête américaine, au Waldorf Astoria de New York. Dessin de Louis F. Grant pour The Graphic

Un travail d’enquête sous tension : les commissions américaine et britannique du naufrage du Titanic

Le naufrage du plus luxueux paquebot transatlantique de l’époque a mis en lumière les rivalités latentes entre les États-Unis et le Royaume-Uni. Ce fait est une évidence lorsque l’on observe la concurrence entre les commissions américaine et britannique chargées d’enquêter sur le naufrage du Titanic d’avril à juillet 1912. Tout au long des deux enquêtes, les désaccords entre ces pays ont constitué de véritables batailles juridiques, notamment par l’intermédiaire de la presse contrôlée par des magnats influents. Ces commissions ont cependant laissé un héritage juridique touchant les relations internationales et le statut ambigu actuel de l’épave du Titanic.

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Les femmes et les enfants d’abord !

Ce principe qui fait partie des traditions de la marine est très lié au naufrage du Titanic dans la mémoire des gens. C’est pour beaucoup la seule chose dont ils se souviennent de cette catastrophe… Il peut surprendre car il n’est pas observé dans d’autres transports dangereux. Un navire est un univers clos, isolé, dont le chef est « le maître après Dieu », ce qui lui vaut des règles particulières conservées par la tradition ou même codifiées

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Histoire de la White Star Line : L’entrée dans le XXe siècle

Dans le numéro précédent, nous avons vu comment, dans les années 1880 et 1890, la White Star Line avait délaissé sa ligne transatlantique pour s’occuper de nouvelles activités, avec notamment la mise en place d’une ligne vers la Nouvelle-Zélande et celle d’un service de cargos bétaillers. Le XIXe siècle se refermait en 1899 par la mort de Thomas Henry Ismay, tandis qu’une nouvelle ère était sur le point de s’ouvrir pour la compagnie.

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Les enfants des îles Anglo-Normandes

En 2012, à l’occasion du centenaire du naufrage du Titanic, une plaque a été déposée à Saint-Pierre-Port, la capitale. Cette dernière nous apprend que quatorze personnes originaires de l’île ont perdu la vie cette nuit du 15 avril 1912. Quelques recherches supplémentaires permettent d’établir le nombre exact de guernesiais présents à bord du paquebot : ils étaient dix-neuf, soit deux fois moins que les Français et presque autant que les Belges. Pour une petite île comme celle-ci, le quota est plutôt élevé. Ces hommes et ces femmes de tout âge n’étaient ni pauvres ni riches, ils ont vécu une partie ou toute leur vie dans l’archipel et ont fait le voyage jusqu’à Southampton ensemble pour la plupart d’entre eux. Si leur départ a pu passer inaperçu, leur disparition a certainement dû marquer les consciences ; dans des villages où tout le monde se connaît, difficile de faire abstraction du malheur qui touche les familles des victimes...

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