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Ouest-France

L’Association Française du Titanic devient une référence

Ces trois dernières années, l’AFT a régulièrement été contactée par les médias à la recherche de renseignements sur le Titanic. Nous avons aussi fait l’objet de quelques articles sympas dans les journaux. Voilà désormais que l’on s’adresse à nous pour démêler une affaire d’héritage : l’AFT serait donc en passe de devenir une référence ? Et si nous devenions LA référence française du Titanic ? Nous y travaillons ! Voici quelques exemples récents.

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1912 – 2002

Avez-vous remarqué que cette année, le 14 avril tombe un dimanche ? Comme en 1912… Ne vous faites pas d’illusions, l’Association Française du Titanic ne sera pas la dernière à vous rappeler que 2002 sera le 90ème anniversaire du naufrage du Titanic. Nos amis Irlandais, eux, préféreront fêter cette année le 90ème anniversaire du voyage inaugural du paquebot : le sein nourricier parle ; en famille, on n’évoque pas la mort, mais plutôt la vie. Et personne ne leur reprochera, au contraire, d’aborder cette grande histoire sous l’aspect positif de la vie. Car ce voyage inaugural devait être pour beaucoup un nouveau départ dans la vie ; l’histoire en a décidé autrement, mais n’oublions jamais que le Titanic, ce n’est pas qu’un naufrage froid et meurtrier. C’est surtout cinq jours de voyage pour 2200 personnes à bord du plus beau paquebot du monde. Avant d’être un bateau de mort, le RMS Titanic était une ville flottante, une ville vivante.

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Mahala Douglas, The Daily Graphic, 20-4-1912 (Photo: Encyclopedia Titanica).

Titanic

Un poème de Mahala Dutton Douglas extrait du recueil This For Remembrance

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Témoignage inscrit par Berthe Leroy dans son exemplaire de La nuit du Titanic de Walter Lord.

Introduction

Jamais Berthe Leroy, jeune femme modeste, fille de mineur, couturière de son métier, n’aurait cru qu’un jour son nom ferait la Une du New York Times ; et pourtant, le 16 avril 1912, au lendemain de l’impossible naufrage du Titanic, son nom s’y trouvait imprimé en majuscules, six lignes seulement en dessous de celui de Bruce Ismay, PDG de l’une des plus grandes compagnies maritimes au monde, la White Star Line. Malheureusement, la TSF du Carpathia déforma son patronyme en « miss Bertha Lavory ». Berthe Leroy, qui toute sa vie ne fut, pour beaucoup, que la dame de compagnie d’une milliardaire américaine, a mené une vie incroyable, comme bien peu peuvent se targuer d’avoir vécu. Avec ce numéro spécial de Latitude 41 entièrement dédié à Berthe Leroy, nous vous proposons de faire connaissance avec cette jeune femme, à travers les mots émus de sa famille, les interviews qu’elle a données à la presse au fil des ans, mais surtout à travers les archives familiales : pour la première fois, des photos exceptionnelles, dont personne ne soupçonnait l’existence ni l’importance historique, sont rendues publiques. Les lecteurs de Latitude 41 sont les premiers à qui nous offrons ce cadeau inestimable. Berthe Leroy ne sera plus jamais « la bonne de Madame Douglas » sur laquelle très peu de choses sont connues, un nom dans une liste, un nombre dans des statistiques : grâce à ce numéro de Latitude 41, elle reprend vie pour nous conter son destin exceptionnel, son sourire et ses yeux sont bouleversants. Plus qu’un album de famille, ce numéro se veut un hommage, en attendant celui, officiel, que nous lui rendrons en 2002, en dévoilant une plaque sur sa tombe.

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J’irai cracher sur vos tombes

Quelques jours après le naufrage du Titanic, la White Star Line a affrété des navires afin de retrouver les corps des victimes qui flottaient sur l’Atlantique nord. Du 17 avril au 6 juin 1912, 328 corps furent ainsi repêchés ; 119 furent rejetés à la mer, ne pouvant être transportés ; les 209 autres furent rapatriés à Halifax (Nouvelle-Écosse, Canada). Sur ces 209 corps, 59, officiellement identifiés, furent rendus aux familles qui les réclamèrent. Les autres furent enterrés dans trois cimetières de la ville : Fairview Lawn (121 corps dont 30 non identifiés) ; Baron de Hirsch (10 corps dont 8 non identifiés) ; Mount Olivet (19 corps dont 5 non identifiés). Depuis 1912, les tombes sont entretenues, fleuries, et reçoivent la visite des familles et des curieux. C’était trop beau pour durer.

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