Latitude 41 n°43
Près d'un siècle après le naufrage, le Titanic fait encore parler de lui. Ce numéro présente plusieurs livres, sites internets et souvenirs des membres de l'association à son sujet.
Près d'un siècle après le naufrage, le Titanic fait encore parler de lui. Ce numéro présente plusieurs livres, sites internets et souvenirs des membres de l'association à son sujet.
Les 5 et 6 septembre 2009, Sébastien Wlomainck a présenté à Deauville une exposition sur le Titanic.
Le 25 octobre 2009, l'AFT a organisé une exposition et une conférence à Bruay-la-Buissière, mettant notamment à l'honneur Berthe Leroy.
Ce numéro de fin d'année 2009 rend hommage à Millvina Dean, dernière rescapée du Titanic. Il donne également des informations complémentaires sur le sculpteur Paul Chevré et s'intéresse à quelques faux rescapés.
Dans ce numéro d'automne 2009, partez à la découverte des gymnases de l'Olympic et du Titanic et de leurs curieux appareils.
Dans mes différentes recherches, j’ai pu retrouver une chanson intitulée By the Waters of Minnetonka – An Indian Love Song (Sur les eaux du Minnetonka – Une chanson d’amour indienne) qui fut un véritable succès (un tube, on dirait aujourd’hui) lors de sa sortie en 1914. Elle a été écrite et composée par Thurlow Lieurance (1878-1963), natif lui aussi de l’Iowa (à Osgaloosa) et qui se passionna très vite pour les musiques de différentes tribus indiennes.
Présentation des propriétés américaines de Mahala Douglas.
Quelques articles de presse se rapportant à la famille Douglas, entre 1912 et 1947.
En 1908, nous étions à Paris. La Seine était en crue. Il pleuvait à torrents tous les jours. C’était un monde humide, gris, brumeux, froid et détrempé. Le pauvre Walter tomba malade. Le docteur dit que c’était le plus beau cas d’angine qu’il avait jamais vu. Walter avait ses propres idées quant à la beauté (de cette angine). Nous prîmes une infirmière anglaise et une bonne française. La bonne arriva vêtue d’une robe de serge verte à rayures noires qui traînait. C’était d’un effet ravageur. À l’époque mon français était épouvantable et la pauvre fille était hébétée à la fin de la journée. Elle partit en hâte chercher la bonne qui l’avait recommandée et lui raconter ses ennuis. « Il se peut que cette dame parle français mais je n’ai jamais rien entendu de tel. Je ne comprends pas un mot de ce qu’elle dit. Je ne veux pas rester. » dit-elle. Mais elle resta et fut le délice de ma vie pendant trente-deux ans. Un cœur d’or, un humour jamais défaillant, honnête, compétente, fidèle, dévouée, un cadeau des dieux.
Ayant été très touché par le parcours de Berthe Leroy-Bourlard, l’histoire de la vie d’une petite fille, née française, émigrée aux États-Unis, naturalisée américaine. Elle choisit de revenir en France, afin d’y poursuivre le dernier acte de sa vie et d’y mourir (pour Independence Day, le 4 juillet), ce qui me décida à me rendre sur ses traces (et celles de Gaston Bourlard), en Californie. Ce voyage de quelques jours se réalisa tout début décembre 2007. Je dédie ce carnet de voyage à Berthe Leroy-Bourlard, Gaston Bourlard, Nicole et Christian Gorrée-Wéry, Michel et Sylvie Leroy, Walter Donald Douglas, Mahala Dutton-Douglas et leurs familles.