Latitude 41 n°76-77
Alors que l'AFT célèbre dans ce numéro ses 20 ans, découvrez plusieurs passagers méconnus du Titanic.
Alors que l'AFT célèbre dans ce numéro ses 20 ans, découvrez plusieurs passagers méconnus du Titanic.
Le 14 juin 2018, Aymeric Le Guisquet, de l'AFT, et le Lions Club voie romaine de Chamalières ont fait don des 1 500 € de recette des l'exposition sur le Titanic qui s'est tenue dans cette ville en février à la Ligue contre le cancer. Ce geste est un hommage à notre fondateur Robert Shotton, décédé en 2017 de cette maladie.
Notre association s'est réunie du 13 au 15 avril 2018 à Cherbourg pour son assemblée générale. Cette rencontre a été l'occasion d'une visite de la ville guidée par l'un de nos membres y résidant, Michel Hoose, ainsi que d'un hommage à notre premier président décédé en 2017, Robert Shotton.
En ce printemps 2018, découvrez la participation de l'AFT à de nombreuses expositions, et venez à la rencontre de la passagère Selena Cook.
Notre ami Aymeric Le Guisquet a organisé une exposition sur le Titanic à Chamalières du 16 au 18 février 2018.
L'Association Française du Titanic proposera une exposition ludique autour de l'histoire du naufrage et des vestiges du Titanic. Aymeric Le Guisquet et Sébastien Wlomainck, deux passionnés hors pair et conférenciers de génie, vous ferons revivre cette unique escale française d'un paquebot devenu une légende dans l'histoire des transatlantiques.
Une lettre du passager Oscar Holverson a été vendue aux enchères. La lettre de 3 pages a été retrouvée sur le lieu du naufrage du Titanic, à l’intérieur d’un carnet de notes retrouvé sur le corps du défunt.
Après avoir découvert les parents Widener dans le numéro précédent, rencontrez le fils, Harry, ainsi que leurs domestiques, dans ce numéro d'hiver 2017.
Aymeric Le Guisquet revient sur les différentes expositions qui ont permis de contribuer à de bonnes causes.
Dans le monde de la haute couture, il est fréquent de dire : « c’est la femme qui fait la robe ». Sous-entendu, c’est celle qui porte la tenue qui révèle la beauté de cette dernière, et non l’inverse. Dans la riche société de la Belle-Époque, on pouvait dire : « c’est la femme qui fait l’homme ». Sans une belle Lady à son bras pour descendre les marches du Grand Escalier du Titanic, le plus riche des passagers n’était rien qu’un anonyme parmi d’autres. Effectivement, cela reléguait la gente féminine au rang d’objet, destiné à asseoir la puissance de celui qui l’accompagnait. Mais après tout, devaient-elles s’en plaindre ? Probablement que non, car elles avaient une vie que beaucoup de leurs semblables devait envier ; même si certaines cachaient parfois leur désespoir d’être délaissées au profit des affaires ou de maîtresses sous le maquillage, les belles toilettes et les bijoux étincelants. Eleanor Widener fut une femme respectée, admirée, et surtout forte, ayant épousé l’un des hommes les plus fortunés des États-Unis ; mais dont l’existence fut digne d’une tragédie grecque.