Le mot du Président

La onzième année commence pour l’AFT, je la souhaite fertile et conviviale. Elle débute par un numéro spécial sur Berthe Leroyn Gaston Bourlard et la famille Douglas. Mais ce qui me ravit, par-dessus tout c’est la chaîne de personnes engagées qui a conduit à ce résultat. Si je ne manque pas de féliciter Thierry Dufournaud à qui l’on doit ce magnifique et riche numéro, je m’attache à remonter le temps pour retrouver Joseph Coïc et Marie-Thérèse Kissenberger et leurs très nombreuses expositions et conférences. Celles-ci ont permis, entre autre, de rencontrer Françoise Douglas, descendante de la famille que servaient Berthe et Gaston. Je suis reconnaissant à sa sœur de la confiance qu’elle nous a manifestée en nous prêtant de nombreux documents inédits. Je la remercie bien sincèrement. Ont suivi, dans cette chaîne, Michel, son contact dans un premier temps, prêteur, avec sa fille Sylvie, de documents.

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Berthe Leroy à Hersin-Coupigny : la conférence. De gauche à droite : Christian et Nicole Gorrée-Wéry, Michel Leroy, Mme Delengaigne Présidente du Comité historique, Thierry Dufournaud et Robert Shotton.

Exposition sur Berthe Leroy

Le comité historique d'Hersin-Coupigny et l'AFT ont organisé les 9 et 10 mai 2009 une exposition consacrée à Berthe Leroy. Elle a été précédée d'une conférence donnée par l'AFT, et accompagnée d'un hommage sur la tombe de la défunte.

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Millvina Dean vend aux enchères

Millvina Dean va vendre aux enchères demain en Angleterre divers souvenirs personnels, dont la valise donnée à sa mère à leur arrivée à New York (contenant des vêtements). Elle est contrainte de faire cela pour pouvoir payer ses frais de séjour en maison de retraite.

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« Jack » Phillips en uniforme Marconi

Jack Phillips

Passionnée par l'histoire du Titanic depuis mes 16 ans (sortie du film Titanic de Cameron au cinéma), mon intérêt pour Jack Phillips est plus récent. Il y a bientôt quatre ans alors que je faisais des recherches sur ce paquebot, j'apprends que Phillips est mort dans le naufrage alors que depuis des années je croyais qu'il avait survécu. Je commence à faire des recherches sur cet homme, à traduire tout ce  que je peux trouver sur lui. Je me rends deux fois dans sa ville natale, Godalming, en Angleterre, et rencontre John Young, membre de la British Titanic Society, sans conteste celui qui en sait le plus sur la vie de Phillips. Jack Phillips, opérateur radio en chef du Titanic, s'est comporté en héros, restant à son poste jusqu'à trois minutes de la fin environ. Il est décédé dans le naufrage probablement noyé à l'âge de 25 ans.

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Et si le Titanic n’avait pas coulé ?

14 avril 1912, 23 h 30 : Frederick Fleet, au poste de vigie, ne voit pas l’iceberg à temps ; trop tard pour faire la manœuvre à bâbord. Le Titanic le percute de plein fouet et à pleine vitesse. Le choc, très violent, est ressenti dans tout le navire. Une partie du mât avant s’est brisée et la proue s’est enfoncée profondément dans l’iceberg, heureusement seul, le premier compartiment étanche est touché. Les dégâts sont impressionnants mais ne mettent pas le navire en péril.

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Manger en 1912

En lisant les premières épreuves du travail admirable de Franck Gavard-Perret sur le Restaurant à la Carte du Titanic, je me suis dit que nous pourrions peut-être publier un petit travail sur la manière de s’alimenter en 1912. En feuilletant les magazines de 1908 à 1912, qu’ils soient hebdomadaires ou mensuels, je me suis aperçu que quelques sujets étaient régulièrement traités, comme si les journalistes n’arrivaient pas à y mettre un point final et devaient y revenir à chaque édition, porteurs d’informations nouvelles. Parmi les sujets les plus régulièrement abordés, on trouve : l’armée allemande qui grossissait ses rangs et devenait une menace ; les têtes couronnées d’Europe ; la politique intérieure ; les salons d’art ; les visites de souverains et chefs d’État en France ; la puissance de l’aviation civile et militaire qui, malgré les accidents mortels qu’on déplorait presque au quotidien, promettait d’être la prochaine arme révolutionnaire en cas de conflit ; les manœuvres militaires autour de points stratégiques, comme si l’Europe se préparait à quelque guerre ; les grands sportifs notamment les boxeurs et les tennismen ; les animaux ; les pièces de théâtre ; la littérature et notamment la poésie ; les avancées technologiques ; l’hygiène corporelle et à la maison ; ou encore la qualité de la nourriture que l’on trouvait dans les assiettes de l’époque. Ce sujet a évidemment retenu toute mon attention et j’ai tenté d’en faire ce court article… édifiant par ses informations.

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