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Claudine Laroche et Paul Rudd

Quelques souvenirs personnels de Millvina Dean

J’ai eu la chance et l’honneur de rencontrer Millvina Dean à quelques reprises. Au début, bien sûr, j’avais l’impression d’être en présence d’une « star », d’une « personnalité », dû à son statut international de « plus jeune rescapée du naufrage du Titanic ». Puis petit à petit, j’ai appris à connaître Millvina en tant que femme, qu’être humain tout simplement, et son appartenance au « monde » du Titanic s’est vite gommée.

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À gauche, un biscuit (le seul connu au monde) produit par la White Star Line, à l’image du Titanic. Ces biscuits étaient distribués à bord des paquebots, et celui-ci a été sauvé par une rescapée du naufrage qui l’a conservé en souvenir. À droite, une dalle de sol provenant de l’Olympic plus probablement, mais que l’on trouvait en de nombreux endroits sur le Titanic.

Quelques découvertes sur l’Internet

L’Internet ne permet pas uniquement de découvrir des œuvres inspirées du naufrage du Titanic. Parfois, ce sont des objets mêmes provenant du paquebot qui sont mis en vente. Quelquefois encore, on découvre des pièces relatives aux autres paquebots de la White Star Line, ou carrément des objets détournés allant de la céramique décorative au t-shirt rigolo. Voici un panel de quelques découvertes récentes :

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À gauche : Le naufrage du Titanic (1), de Martine Calvayrac, artiste peintre autodidacte née en 1953, a été mis aux enchères à Drouot en 2008. Cette œuvre (peinture à l’huile sur carton entoilé) de 55 x 46 cm a été vendue 1850 €. A droite : cette autre œuvre de Martine Calvayrac est intitulée Paquebot Titanic (2), mesure 24 x 30 cm. Il s’agit d’une peinture à l’huile, toile sur châssis à clé. Mise en vente chez Drouot, la toile s’est vendue 1350 €. Pour tout renseignement sur les œuvres de Martine Calvayrac (paysages, marines, aviation, nus, natures mortes, reproductions…), voir sa page Internet : http://m.calvayrac.free.fr/index.htm

L’art du Titanic

Récemment, en me promenant sur l’Internet, j’ai découvert diverses œuvres artistiques ayant le Titanic comme sujet. Je vous les livre ici, avec quelques informations lorsque j’ai pu en glaner ici ou là. Cette page est dédiée à la mémoire de Roy Jaeggi, membre et ami de l’Association Française du Titanic, disparu au début de l’année 2009. L’une de ses toiles, Hommage au Titanic, absolument magnifique, avait illustré la Une du n° 15 de Latitude 41 en avril 2002, l’année où j’ai eu le grand plaisir de faire sa connaissance.

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Chez le libraire

Cette nouvelle rubrique, que nous reprendrons à chaque fois qu’un ouvrage traitant du Titanic ou de sujets similaires sera disponible (et nous aurons prochainement la chance et l’honneur de pouvoir vous présenter un livre écrit par un membre de l’AFT), n’est pas une « revue de presse » à proprement parler, mais l’avis personnel de lecteurs membres de l’Association Française du Titanic, que vous pourrez partager ou décrier. C’est en argumentant que l’on fait avancer les choses : au fil des numéros de Latitude 41, chacun pourra, s’il le souhaite, publier son avis sur un ouvrage même si celui-ci a déjà été critiqué ou passé en revue dans nos colonnes, en apportant un nouvel éclairage ou de nouvelles informations sur l’ouvrage en question.

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Vient de paraître… Une analyse de The other side of the night, de Daniel Allen Butler

’on connaît Daniel Allen Butler depuis plus de dix ans pour Unsinkable, un véritable best-seller[1] présenté au grand public en 1998, à une époque où le film de James Cameron conquérait les cinq continents. Il s’agissait d’une honorable synthèse consacrée à l’histoire du Titanic, retracée de sa construction jusqu’aux conclusions rendues par les commissions parlementaires américaine et britannique. A l’approche de l’an 2000, l’auteur avait résumé les conclusions rendues par les spécialistes depuis plus d’un demi-siècle. Devenus une référence, les travaux de Butler incarnaient alors – peut-être sans que son auteur puisse le prévoir – un véritable aboutissement. Cependant, les travaux postérieurement entrepris par les chercheurs démontrent qu’un ouvrage sur le Titanic ne peut jamais prétendre à avoir un caractère définitif. Ainsi, afin de mettre à jour un aspect du naufrage du Titanic, Butler publie ses derniers travaux dans un ouvrage intitulé The Other Side of the Night : the Carpathia, the Californian, and the Night the Titanic was Lost.

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