Aymeric Le Guisquet, chargé de communication de l'AFT, a organisé une exposition sur le Titanic à Ceyrat du 24 au 26 mars 2017. Celle-ci a notamment été l'occasion d'une conférence de notre trésorier, François Codet.
C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Robert Shotton, survenu ce matin 8 mars à l'âge de 46 ans. Bob, comme l'appelaient les membres de l'Association, était le père fondateur de cette association (Association Française du Titanic). C'est en 1998 qu'il eut l'idée de sa création, et il en fut le président jusqu'en 2003. Nous n'oublierons pas sa gentillesse et son dévouement.
C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de François Omont survenu le mois dernier à l'âge de 92 ans. Il était le fils de Fernand Omont, survivant du naufrage du Titanic, et avait rejoint l'association pour y apporter une contribution importante, tant dans les articles publiés dans notre magazine Latitude 41, que dans les nombreuses illustrations et dessins qui ornaient souvent les couvertures de ce même magazine.
Dans ce numéro d'hiver 2016, découvrez la fin de l'histoire de la White Star Line, ainsi que les dernières actualités de l'association.
Dans ce numéro double de l'été 2016, partez à la rencontre des passagers venus des îles anglo-normandes et découvrez l'histoire de la White Star Line à son apogée.
Après un été pour le moins chargé, entre la thèse d’Antoine, le mémoire d’Aurélie et les concours de Manon, nous sommes de retour pour vous proposer ce nouveau numéro de Latitude 41 qui, nous l’espérons, vous intéressera. Vous y retrouverez entre autres les passagers du Titanic originaires des îles anglo-normandes, la White Star Line à l’heure de son apogée, une réflexion sur les commissions d’enquête, et une analyse de François Omont sur le célèbre ordre « les femmes et les enfants d’abord ».
Un grand nombre d’ouvrages attribuent la naissance de la classe Olympic à une discussion survenue lors d’un somptueux dîner donné pendant l’été 1907. Dans leur charmante demeure londonienne, les Pirrie avaient invité les Ismay et, au terme d’une agréable soirée, un projet de lancement d’un, deux ou trois navires avait vu le jour. Vous avez dit « projet » ? Le terme est vraisemblablement peu adapté. En effet, en 2001, Günter Bäbler avait rassemblé – dans un article paru en anglais – de probants éléments qui permettaient d’émettre un doute sur l’authenticité de cette histoire[1]. En outre, à la lecture de travaux menés par Wilton J. Oldham, d’autres indications troublantes ont pu être relevées par la suite. Ainsi, le présent article présente l’accumulation de plusieurs indices qui interrogent sur la date de la « véritable naissance » de la classe Olympic et par conséquent du Titanic. Un grand merci à mon ami Günter Bäbler pour son aide précieuse, ainsi qu’à Jean-Philippe Marre pour sa collaboration sur les paragraphes consacrés à l’architecte Thomas Andrews.
Le 14 avril dernier, l’équipe du jeu vidéo Honor and Glory – déjà évoqué dans un article du numéro 60-61 de Latitude 41 – a publié sur son site internet et sur Youtube une vidéo retraçant l’ intégralité du naufrage minute par minute. Pendant plus de 2 h 40, de la collision au plongeon final, le spectateur assiste à la lente disparition du Titanic et suit les différents événements qui se déroulèrent cette nuit-là.
Bref retour sur notre rencontre du Havre en avril 2016.
Le Titanic aura toujours ses figures emblématiques : l’orchestre jouant jusqu’au dernier instant ; le commandant Smith sombrant avec son navire ; le couple Straus uni dans la mort comme il le fut dans la vie ; et tant d’autres encore. Parmi toutes ces images qui nous viennent en tête, l’une d’elle en particulier restera pour toujours inhérente à ce paquebot qui fascine les foules depuis plus d’un siècle : Thomas Andrews, son constructeur, qui l’aura suivi de ses premières esquisses jusqu’à sa plongée dans les abysses.