Latitude 41 n°84-85

Le Britannic, successeur du Titanic, n'a jamais connu le service commercial. Mais désormais, les travaux des chercheurs et reconstituteurs nous donnent une idée du luxe inouï qu'on aurait trouvé à bord. Découvrez-le dans ce numéro estival de 2020.

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Vie de l’association

Cette année 2020 aura bien bizarrement commencé, et un certain virus nous aura privés de notre assemblée générale annuelle ! Malgré tout, l’AFT poursuit ses activités et le numéro double estival de Latitude 41 est bien au rendez-vous ! C’est le Britannic qui est à l’honneur, avec la sortie en juin du jeu Britannic: Patroness of the Mediterranean, qui offre une magnifique reconstitution du navire. Vous pourrez découvrir un aperçu du jeu dans ces pages, mais aussi un gros dossier de Nicolas Murgia, membre de l’équipe qui a produit le jeu, qui nous fera part de bien des découvertes surprenantes sur ce qu’aurait dû être le troisième paquebot de la classe Olympic. Nous remercions très chaudement Vintage Digital Revival pour toutes les superbes images qui orneront ce numéro.

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Décès de Gérard Piouffre

Nous avons appris ce matin avec tristesse la mort de notre ami Gérard Piouffre. Membre régulier de l'AFT depuis 2009, Gérard avait apporté à certaines de nos assemblées générales son…

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Titanic University : Une chaîne prometteuse

Les créateurs de Titanic : Honor & Glory n'ont pas fini de nous surprendre. Début mars, Matt DeWinkeleer a lancé sur YouTube la chaîne Titanic University, pensée comme une (future) bible d'informations et de connaissances sur le paquebot (en anglais).

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Le coin du lecteur : Great Passenger Ships, That never were : Damned by Destiny Revisited, de David L. Williams et Richard de Kerbrech

Il y a quelques années, alors que je travaillais à mon mémoire de master sur le Normandie, je suis tombé sur un ouvrage des années 1980 particulièrement précieux, Damned by Destiny, par David L. Williams et Richard de Kerbrech. Je recherchais à l’époque des informations sur le Bretagne, hypothétique faux-jumeau du Normandie qui aurait dû voir le jour au milieu des années 1940, si la guerre n’avait pas éclaté. Et ce livre consacrait un chapitre entier à ce projet et en évoquait bien d’autres. Depuis, le nom de Richard de Kerbrech m’est devenu familier, qu’il écrive ou non en tandem avec David L. Williams, et plusieurs de ses livres remplissent ma bibliothèque : Ships of the White Star Line, Cabin Class Rivals, Down amongst the Black Gang… Les plus attentifs d’entre-vous se souviendront peut-être que j’en ai déjà évoqué certains dans Latitude 41. Mais pendant longtemps, Damned by Destiny faisait office de Graal et ne pouvait se trouver que d’occasion, pas toujours à bon prix. Qui plus est, après bientôt quarante années, il commençait à dater.

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Du côté des revues des autres associations

Les derniers numéros des associations allemande et britannique nous promettent un voyage à travers les méandres historiques de navires et de lieux qui composent l’histoire du Titanic. Embarquez à bord du Carpathia, du Mackay-Bennett, du Minia dans le dernier numéro de Der Navigator du côté allemand. Outre-Manche, la British Titanic Society met l’accent sur l’histoire d’Harland and Wolff, chantiers navals qui ont vu naître bien évidemment le Titanic mais aussi d’autres navires connus. La fin tragique n’était évidemment nullement envisagée à la naissance du paquebot glorifié de promesses. Et pourtant le Titanic continue de faire rêver de nouvelles générations via divers navires qui ont croisé le chemin du paquebot des rêves ainsi qu’à travers des lieux aujourd’hui sous-estimés pour leurs valeurs.

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