Les associations allemandes et britanniques nous invitent au voyage dans leurs numéros estivaux respectifs. La première en compagnie du personnel du Titanic et la seconde en nous faisant découvrir une ville trop souvent oubliée de l’histoire du paquebot. En cette période de post-déconfinement général, quoi de mieux que de voyager dans le temps à défaut de pouvoir traverser les frontières sans inquiétude.
Cette nouvelle imagine une journée de Thomas Andrews à bord du Titanic : l'architecte est fort occupé !
Dans son numéro spécial de l’été 1911, le magazine maritime britannique The Shipbuilder publia une description détaillée des paquebots Olympic et Titanic de la compagnie White Star Line. Parmi les nombreuses installations qui sont dépeintes, l’exposé de la section culinaire attire l’attention en raison de la présence à bord d’un objet d’exception.
Quel passionné du Titanic n’a jamais rêvé braver les 3 800 mètres obscurs et glacés qui le séparent de l’épave du géant des mers, avalé par l’océan lors de sa croisière inaugurale ? Malheureusement, la plupart d’entre nous ne disposons pas de la même crédibilité scientifique que Robert Ballard. Plaider notre cause pour obtenir une plongée sur l’épave serait bien vain. Qu’à cela ne tienne !
Ce printemps, le Titanic a été très présent dans les médias, notamment avec le tapage médiatique généré autour de la découverte d’une bouteille à la mer contenant un mot attribué à la petite Mathilde Lefebvre. Vérité ou canular ? L’affaire a beaucoup fait parler et… nous ne la traiterons pas dans ce numéro. Nous travaillons en effet à un article plus fouillé sur les nouvelles découvertes au sujet de la famille Lefebvre, et nous en profiterons pour faire le point sur cette histoire, nous l’espérons dans le prochain numéro. Dans celui-ci, Alain Dufief vous fera découvrir un curieux ustensile de cuisine qui a pu surprendre tous ceux qui ont un jour lu une description détaillée de l’équipement gastronomique du Titanic, et répondra à une question que vous ne vous êtes probablement jamais posée : « comment presse-t-on un canard ? » Pour sa part, Denis Meyer, de longue date fasciné par Thomas Andrews, a décidé de lui rendre hommage dans un récit de fiction. Enfin, une nouvelle contributrice, Sonia Vigneau, vous propose de découvrir une plongée virtuelle, mais fort immersive, sur l’épave du Titanic !
Et si vous pouviez visiter l'épave du Titanic ? C'est ce que propose aujourd'hui un logiciel de réalité virtuelle. Parmi les autres articles de ce numéro d'automne 2021, vous découvrirez de curieuses presses à canard et vous mettrez dans la peau de Thomas Andrews.
Découvrez la vie d'un domestique de millionnaires, Louis Gustave Joseph Lesueur, rescapé du Titanic, dans ce numéro d'été 2021.
Plus de 35 ans après sa découverte, l’épave du Titanic continue à faire parler d’elle : dans les médias, les nouvelles contradictoires se succèdent, qu’il s’agisse de sa protection, de la situation des objets récupérés, ou encore des expéditions à venir – et qui, souvent, ne viennent pas. La chose n’est pas nouvelle : sur grand et petit écran, dans les librairies et en couverture des magazines, l’épave du Titanic s’affiche partout depuis plus de trois décennies, au point qu’il devient paradoxalement difficile de la connaître. Un livre récent et d’excellente qualité, publié chez The History Press qui deviennent coutumiers du fait, remédie à cela : The Titanic Expeditions, 195-2010, d’Eugene Nesmeyanov.
Dans cette nouvelle, nous partageons un instant de vie des officiers sur la passerelle du Titanic.
C’est sous le nom de Gustave Lesueur, valet de chambre voyageant en 1re classe, que l’on connaît l’un des passagers français rescapés du naufrage du Titanic. Et si, à l’exception de sa traversée transatlantique à bord du célèbre paquebot, on ne sait que peu de choses sur la vie de cet homme, c’est tout simplement parce que cette identité-là ne permet guère d’en apprendre davantage.